Voilà, je suis de retour après 2 semaines sans internet... et mon retour n'est pas bien glorieux!
Tout d'abord merci pour vos commentaires et vos passages sur mon blog. Mais non aujourd'hui, je n'écrirai pas que j'en suis à "J je ne sais quoi" d'un moment utopique, puisque je ne change pas. J'ai eu la force la première semaine de ne pas partir en craquage. Mais dimanche en 15 et les semaines qui ont suivi, on vu ma décandence, mais ne parlons pas de défaite. Vous l'avez donc compris, je ne vogue pas sur le bateau du bien être nutritionnel, mais je réfléchis sur mon comportement.
Avec un peu de recul, je vois que le jour où j'ai commencé à me baffrer était un dimanche où ma soeur était à la maison, et le stress est revenu au galop face à son stress à elle. (Je ne lui jette pas de pierre, on ne se voit pas souvent, mais quand je suis réellement confrontée à ses angoisses, j'empathie. Je le découvre et je l'admet, même si parfois je me dis que je pense ça pour me donner une excuse, alors empathie ou excuse?)
Deuxième chose, stage et hébergement à Mulhouse rendent la gestion des points et des plaisirs impossible. Repas self le midi, et distributeur automatique le soir (quiche, friand, sandwich, crudités pleines de sauce), donc si je veux gérer, j'en arrive forcément à la frustration. Ca pourrait faire des exercices de modération, mais je n'y arrive pas. Il me reste 3 semaines, ce qu'il serait bon, c'est que pour ces 3 semaines à venir, j'arrive en fait à manger comme tout le monde. Car là, je suis en phase "carnaval" comme dirait Aperldorfer.
Avec le recul, cela fait 1 an et demi, n'est ce pas, que j'alterne contrôle, hypercontrôle. Et oui, enieme article dans lequel je répète cette phrase!! grr, je ne dois pas m'énerver contre moi-même. J'ai donc pensé qu'il serait bien, que je ne veuille pas reprendre lundi prochain une semaine de ww, à m'obstiner à compter les points, à me surveiller etc... Mais donc profiter des 3 semaines restantes de stage, pour manger NORMALEMENT et comme tout le monde. Manger de tout et des petits plaisirs, ne pas réfléchir à un cumul, quotat de points, ne pas réfléchir à ce que pourrais ingurgiter même quand je n'ai plus faim. Mais, penser que je dois manger parce que j'ai faim, et non pas parce que à partir de lundi prochain, "je ne pourrais plus manger à ma guise". Cette phrase là me revient trop souvent à l'esprit, et si ça c'est pas un exemple des conséquences de l'hypercontrôle, ça n'est rien d'autre!!
Ces 3 semaines doivent donc m'aider à briser le cercle vicieux des phases d'alternance. Manger sereinement, et bouger. Parce que mes joggings, mes pseudos motivations de miss sportive envolées!! Jusqu'à maintenant, mes moments sportifs ne sont présents seulement lors de mes phases de contrôle, donc justement si je me mets à aller faire du sport, alors que je ne suis pas dans le comptage des points et dans l'hypervolonté, ça pourrait être un bon début vers la "guérison" (appelons la comme ça!)
En fait, la (seule) période où j'avais réussi à perdre des kilos, correspond à une période où j'étais en vacances, et où je pouvais moi même décider de mes repas. Je pense donc, qu'il faille attendre mon retour sur Nancy, où je pourrais faire mes courses, ma cuisine et décider de ce que j'ai envie de manger MOI! Mais pour autant, les 3 semaines qui me séparent de ce retour, ne doivent pas être des semaines "où tout est permis". Sinon, c'est de la perte de l'hypercontrôle pendant 3 semaines, en attendant le retour.
En résumé, ne pas repartir dans la restriction la semaine prochaine, mais apprendre à me réconcilier avec la nourriture, manger quand on a faim, ce que l'on aime, et non pas "se goinfrer" parce que après "on ne pourra plus". Je ne sais pas si l'optique de me mettre en tête le retour sur Nancy pour gérer ma nourriture est une bonne idée, ou bien si elle fait parti d'un schéma d'hypercontrôle qui me hanterait encore.
Vu de l'extérieur vous en pensez quoi?
Tout d'abord merci pour vos commentaires et vos passages sur mon blog. Mais non aujourd'hui, je n'écrirai pas que j'en suis à "J je ne sais quoi" d'un moment utopique, puisque je ne change pas. J'ai eu la force la première semaine de ne pas partir en craquage. Mais dimanche en 15 et les semaines qui ont suivi, on vu ma décandence, mais ne parlons pas de défaite. Vous l'avez donc compris, je ne vogue pas sur le bateau du bien être nutritionnel, mais je réfléchis sur mon comportement.
Avec un peu de recul, je vois que le jour où j'ai commencé à me baffrer était un dimanche où ma soeur était à la maison, et le stress est revenu au galop face à son stress à elle. (Je ne lui jette pas de pierre, on ne se voit pas souvent, mais quand je suis réellement confrontée à ses angoisses, j'empathie. Je le découvre et je l'admet, même si parfois je me dis que je pense ça pour me donner une excuse, alors empathie ou excuse?)
Deuxième chose, stage et hébergement à Mulhouse rendent la gestion des points et des plaisirs impossible. Repas self le midi, et distributeur automatique le soir (quiche, friand, sandwich, crudités pleines de sauce), donc si je veux gérer, j'en arrive forcément à la frustration. Ca pourrait faire des exercices de modération, mais je n'y arrive pas. Il me reste 3 semaines, ce qu'il serait bon, c'est que pour ces 3 semaines à venir, j'arrive en fait à manger comme tout le monde. Car là, je suis en phase "carnaval" comme dirait Aperldorfer.
Avec le recul, cela fait 1 an et demi, n'est ce pas, que j'alterne contrôle, hypercontrôle. Et oui, enieme article dans lequel je répète cette phrase!! grr, je ne dois pas m'énerver contre moi-même. J'ai donc pensé qu'il serait bien, que je ne veuille pas reprendre lundi prochain une semaine de ww, à m'obstiner à compter les points, à me surveiller etc... Mais donc profiter des 3 semaines restantes de stage, pour manger NORMALEMENT et comme tout le monde. Manger de tout et des petits plaisirs, ne pas réfléchir à un cumul, quotat de points, ne pas réfléchir à ce que pourrais ingurgiter même quand je n'ai plus faim. Mais, penser que je dois manger parce que j'ai faim, et non pas parce que à partir de lundi prochain, "je ne pourrais plus manger à ma guise". Cette phrase là me revient trop souvent à l'esprit, et si ça c'est pas un exemple des conséquences de l'hypercontrôle, ça n'est rien d'autre!!
Ces 3 semaines doivent donc m'aider à briser le cercle vicieux des phases d'alternance. Manger sereinement, et bouger. Parce que mes joggings, mes pseudos motivations de miss sportive envolées!! Jusqu'à maintenant, mes moments sportifs ne sont présents seulement lors de mes phases de contrôle, donc justement si je me mets à aller faire du sport, alors que je ne suis pas dans le comptage des points et dans l'hypervolonté, ça pourrait être un bon début vers la "guérison" (appelons la comme ça!)
En fait, la (seule) période où j'avais réussi à perdre des kilos, correspond à une période où j'étais en vacances, et où je pouvais moi même décider de mes repas. Je pense donc, qu'il faille attendre mon retour sur Nancy, où je pourrais faire mes courses, ma cuisine et décider de ce que j'ai envie de manger MOI! Mais pour autant, les 3 semaines qui me séparent de ce retour, ne doivent pas être des semaines "où tout est permis". Sinon, c'est de la perte de l'hypercontrôle pendant 3 semaines, en attendant le retour.
En résumé, ne pas repartir dans la restriction la semaine prochaine, mais apprendre à me réconcilier avec la nourriture, manger quand on a faim, ce que l'on aime, et non pas "se goinfrer" parce que après "on ne pourra plus". Je ne sais pas si l'optique de me mettre en tête le retour sur Nancy pour gérer ma nourriture est une bonne idée, ou bien si elle fait parti d'un schéma d'hypercontrôle qui me hanterait encore.
Vu de l'extérieur vous en pensez quoi?